
Isolement : le piège silencieux qui guette nos aînés
On en parle de plus en plus, et pour cause : l’isolement des personnes âgées est une véritable bombe à retardement. Quand les interactions sociales se raréfient, ce ne sont pas que les journées qui deviennent longues. C’est la santé elle-même qui vacille. Moins de stimulations, moins de mouvement, moins de motivation… et les risques explosent. Ce qu’on sait moins, c’est que l’isolement augmente de 60 % le risque de démence et double le risque de dépression. Rien que ça. Alors, comment agir concrètement pour l’éviter ? Voyons ça ensemble.
L’isolement, un facteur de risque majeur
Sur le plan neurologique, l’isolement social a des effets comparables à ceux du stress chronique. Il entraîne une élévation durable du cortisol, perturbe les circuits de la mémoire et affaiblit les connexions neuronales. Résultat : le cerveau s’appauvrit plus vite. C’est pourquoi maintenir des interactions régulières est crucial pour préserver les capacités cognitives. Même des échanges virtuels, par téléphone, visioconférence, messagerie, ont montré leur efficacité pour stimuler les réseaux sociaux du cerveau et limiter le repli sur soi.
Mais bon… entre nous, demander à papi d’appeler ses amis en visioconférence, c’est parfois un sacré numéro ! Combien se retrouvent à parler… à l’objectif de la caméra ou avec le micro coupé ? Et pourtant, quand on persévère, quelle différence ! On a vu des aînés reprendre goût aux échanges et sortir de leur coquille en quelques appels bien menés.
Sortir pour mieux vivre… en toute sécurité
Favoriser les sorties est tout aussi essentiel. Marcher, aller au marché, participer à un club : tout cela entretient non seulement le corps, mais aussi l’esprit. Cependant, pour que l’aîné ose sortir, il doit se sentir en sécurité. La peur de tomber ou de se perdre est l’un des freins majeurs à la mobilité extérieure. D’où l’importance de rassurer, en apportant des solutions concrètes. Un dispositif avec fonction GPS et bouton SOS permet à la personne de se savoir géolocalisée et capable d’appeler à l’aide en cas de besoin. Cela change tout dans la perception de sa liberté.
Et soyons francs… qui n’a jamais entendu : Je préfère rester à la maison, on ne sait jamais ? Traduction : J’ai peur. Et quand on creuse, on découvre que la peur de déranger ou de ne pas savoir quoi faire en cas de problème les pousse à se replier. Avec un outil rassurant, hop, les excuses tombent ! Et la liberté revient.
Avec SmartSAFE, la liberté n’a plus à rimer avec insécurité
Les dispositifs SmartSAFE, avec leur GPS intégré et leur bouton SOS, offrent justement cette tranquillité d’esprit. L’aîné peut sortir en sachant qu’en cas de chute ou de malaise, l’alerte partira automatiquement, et les proches sauront où il se trouve. C’est un filet de sécurité discret, qui n’empiète pas sur l’autonomie. Au contraire, il la renforce.